Les deux tiers des accidents en ville ont lieu à des vitesses "cibles" des zones 30, alors que logiquement, il devrait y en avoir nettement moins. La raison en est simple, les piétons ne considèrent pas les véhicules lents comme des dangers et agissent de manière irresponsable.
Un constat est également récurent, après une plus ou moins courte période d'amélioration, les accidents en zones 30 repartent à la hausse.
Les habitudes s'installent: les piétons ne considère plus la route comme dangereuse, les automobilistes pensent que les piétons les ont vus, roulent à la limite autorisée ou sont encore "absent" de la route car ils doivent "flâner"...
Un constat est également récurent, après une plus ou moins courte période d'amélioration, les accidents en zones 30 repartent à la hausse.
Les habitudes s'installent: les piétons ne considère plus la route comme dangereuse, les automobilistes pensent que les piétons les ont vus, roulent à la limite autorisée ou sont encore "absent" de la route car ils doivent "flâner"...
Résultats:
les accidents mortels se multiplient!
Même à vitesse réduite, un véhicule reste potentiellement mortel!
Ici les tués en zones 10 à 30 en Suisse, la hausse est sensible et grave! Le concept en est totalement responsable!
À Berlin (¾ des rues y sont en zones 30 !), où les piétons représentent plus de la majorité des tués, au point que la vice-présidente de la police berlinois a lancé en 2012 un appel désespéré et suppliant les piétons de reprendre conscience que leur vie dépendait surtout de leur intelligence et de leur responsabilité !
Mais personne n’ose relever l’aberration du concept de zones 30 généralisées et poser de saines questions sur le bien-fondé de la politique actuelle de soutien dogmatique à la déresponsabilisation des piétons dans la circulation.
Mais personne n’ose relever l’aberration du concept de zones 30 généralisées et poser de saines questions sur le bien-fondé de la politique actuelle de soutien dogmatique à la déresponsabilisation des piétons dans la circulation.