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Télécharger notre dossier ou retrouvez point par point nos éléments qui plaident en faveur d'une augmentation des limitations de vitesse!
Si l'on arrive à sortir de la pensée unique imposée par les différents organismes étatiques depuis l'apparition de la voiture qui postulerait que la vitesse est la cause de tous les maux liés à la circulation, on arrive immanquablement à la conclusion que les limitations de vitesse n'ont aucune influence systématiquement positive sur la sécurité. Le paradoxe de l'état du Montana est le meilleur exemple, et peut être le seul puisque la tyrannie des limitations
est quasi globale.
Ici une étude très poussée sur les États-Unis où la voiture a façonné le paysage et les débats sur les limitations de vitesse ont toujours été très importants. Ce pays avait même poussé la logique des limitations plus loin qu'aucun autre état en imposant une vitesse maximale extrêmement basse de 88 km/h (55 mph) qui fût un cuisant échec...
Le constat final est que l'augmentation des limitations de vitesse n'a pas d'influence significativement, ni définitivement négative sur les accidents mortels. Au contraire même si l'on prend en compte d'autres expériences positives : Danemark, Pays-Bas, Pologne, Bulgarie
Le paradoxe du Montana, qui n'avait pas de limitation chiffrée durant 5 ans mais qui a connu une baisse inégalée des accidents mortels pendant cette période y est aussi analysé.
Ici une étude très poussée sur les États-Unis où la voiture a façonné le paysage et les débats sur les limitations de vitesse ont toujours été très importants. Ce pays avait même poussé la logique des limitations plus loin qu'aucun autre état en imposant une vitesse maximale extrêmement basse de 88 km/h (55 mph) qui fût un cuisant échec...
Le constat final est que l'augmentation des limitations de vitesse n'a pas d'influence significativement, ni définitivement négative sur les accidents mortels. Au contraire même si l'on prend en compte d'autres expériences positives : Danemark, Pays-Bas, Pologne, Bulgarie
Le paradoxe du Montana, qui n'avait pas de limitation chiffrée durant 5 ans mais qui a connu une baisse inégalée des accidents mortels pendant cette période y est aussi analysé.
